D’après Yoland Simon.
Le lieu est éloigné du Front. La guerre s’y invite dans la diversité de ses perceptions, constamment présente comme un mythe ou comme une cruelle réalité. Aux dialogues s’ajoutent chansons, poèmes, communiqués militaires.
Ces fragments réunissent au final les petits accidents quotidiens montrant la dégradation d’un monde, des rêves d’éternité d’une “belle époque”, de la faillite d’une civilisation et d’événements précurseurs de temps aussi déraisonnables : une sorte de mémoire au présent.