Blues Legend, John Mayall revisite avec ses Bluesbrakers (Buddy Whittington, Hank Van Sickle et Joe Yuele) toutes les facettes de sa musique de prédilection. Chanteur, harmoniciste, pianiste, guitariste, il use de tous les timbres pour interpréter ses compositions inspirées ou rendre un vibrant hommage à tous les grands noms du blues des sixties. Depuis l’historique "Blues from Laurel Canyon" jusqu’au majestueux "Blues for the Lost Days", il dessine au fil des titres une fresque musicale impressionnante, assortie des réflexions que lui inspirent le monde contemporain : incontournable.
1ère Partie : Ali Harter
Une voie rageuse, profonde et parfois sombre, associée à des mélodies simples et sensibles font de l’univers musical d’Ali Harter un univers très personnel où se mélangent des sentiments teintés de mélancolie. Arrangements minimalistes, guitare au son un peu chaotique, saturé, et slide discret donnent un parfum de vieux jazz. Elle s’accompagne parfois d’un harmonica ou de légères percussions. Son premier album, Worry the Bone, est sorti en novembre 2007.