L’Orchestre du Grand Turc revient vers les incontournables Jean-Sébastien, Wolfgang, Ludwig, Franz, Camille, Richard, Antonio et les autres. Il en présente les plus belles pièces parfaitement révisées et en parfait état de marche telles Petite Musique de nuit transfigurée, Y’a pu d’saisons, Le combat des chefs, Ah les nouilles, Jeux strictement interdits, La truite et le pêcheur pécheur… dans une mise en scène assurée par François Accard (c’est rassurant assurément). Les vicissitudes de la vie d’un musicien d’orchestre servent de fil conducteur au spectacle. Pierre Dac en parlait très bien : “C’est en rêvant de pupitre que Caïus Gracchus fut averti du sort qui le menaçait. Etant profondément endormi, il vit en songe un pupitre narquois qui pêchait la truite sur les bords du Tibre. On sait le reste...(Extrait de l’Os à moelle).